Avez vous deja été dominé par une collegue de travail?Ou avez vous dominez un collegue de travail(pour les femmes)en jeu ou en reel

Bonjour moi j ai deja été dominé par une collegue de travail .Je lui lecher les pieds au bureau mais elle été devenu ma petite amie avant cela mdr.J ai eu droit de tester sous le bureau ^pendant qu elle été a l ordi (pas plus de 2min) on avait fermé la porte

Pas vraiment une collègue mais mon ancienne patronne.

Moi vu que jsuis encore lycéen , et dans une classe que de fille ( jsuis en service a la personne ), elle profite de leur nombres plus important pour me dominer

Apres pour elle sa reste q'un jeux je pense ( ou pas )

Moi pour l'instant avec ma nouvelle expérience que je considère comme relation de travail, c'est tantôt l'un, tantôt l'autre, c'est un petit jeu entre nous ...

Sous le bureau la chance... Tu lui a léché les chaussures aussi?

Bonjour.
Alors oui et ça s'est fait progressivement. Le fétichisme n'était pas le sujet de départ mais bien la domination. Celà a mis du temps à se faire car j'étais très timide et elle également. Elle était amoureuse de moi et mariée avec deux enfants. Nous avons .accroché' humainement pour causer à la pause et avons mangé ensemble de temps en temps ensuite mais toujours avec respect et timidité. J'attendais l'été pour voir quelles chaussures elle allait porter et comme prévu elle faisait apparaître des sandales un peu quotidiennes et confortables mais suffisamment féminines pour me plaire car ouvertes aux talons et sur les orteils avec un petit talon compensé suffisant à mon goût. J'ai choisi de ne pas faire part de mon fétichisme en premier mais plutôt de lui faire comprendre que j'étais deja soumis et les pieds et chaussures viendraient ensuite. Je tiens à dire que l'histoire n'est pas croustillante mais je désire la raconter. Pour raccourcir, nous avons échangé par mail pendant plusieurs semaines où elle le posait des questions sur ma personnalité et je tentais subtilement de lui faire comprendre que je préférais les femmes autoritaires qui aimaient jouer de leur féminité. Elle a apprécié cela je crois en opposition à da vie personnelle de couple et de maman plutôt rangée selon elle. J'ai finis par lui demander si déjà elle accepterait verbalement et par écrit de me dominer en utilisant un langage impératif à mon égard et parfois des insultes. Elle a accepté et a beaucoup apprécié de me parler ainsi. L'idée était de démarrer un sujet et nous avions trouve initialement comme jeu qu'à la pause, on se croise et qu'elle me dise quelque-chose du genre "j'ai envie d'un café tu vas me l'offrir". Je lui répondais "oui maîtresse" et ceci en toute discrétion bien sûr et je lui avait indiqué que je devrais baisser les yeux à chaque fois. Arrivés devant la machine et si nous étions seuls elle était parvenue à dire régulièrement " paie sale chien...". La simple évocation de ses mots me mettait en conditions... Je m'executais bien sûr. Je lui ai rapidement fait comprendre que je désirais regarder ses pieds nus et que jetais attentif au fait qu'elle choisisse de venir au bureau chaussées de sandales ou mules. Elle comprenait le lien que je faisait entre soumission et ses pieds sans autre logique mais elle aimait cette idée. Donc elle ajoutait souvent après son ordre "...je t'interdis de regarder autre chose que mes orteils pendant toute la pause". Bien sûr je lui obéissais et parfois en remontant l'escalier quelle décidait d'emprunter la première, elle se retournait en sachant bien ce que je regardais avec délice et en me souriant l'air malicieux, nous avions finis par jouer à ce qu'elle attende de moi (après osé lui avoir demandé une première fois) qu‹elle détache la lanière arrière de ses sandales pour que je profite du spectacle de voir à chacun de ses pas lents la totalité de ses plantes de pieds nus... Ça avait dû donner (je la vouvoyais et la suppliasis dans ces moments de domination) "pourriez vous je vous en supplie détacher l'arrière de vos sandales ..." La première fois elle avait éclaté de rire et j'avais adoré son regard et ses mots car elle était debout deux marchés plus haut et m'avais dit en tendant son pied "détache les toi même larbin..." Je me souviens que mes doigts tremblaient en le faisant et qu'elle s'était immédiatement retournée et qu'elle riait en remontant et en sachant que je désirais ce que je voyais devant moi en la suivant. Nous avons continué ce genre de jeu ainsi pendant de nombreux mois j'étais comblé. Je ne demandais rien d'autre et elle non plus. Dans l'escalier je disais juste "je vous en supplie" et elle jouait à le faire attendre ou me demandait "dis merci chien". Notre entreprise a fermé et nous avons été licenciés. Nous nous sommes revus hors contexte pro très peu avec un peu de gêne et avec timidité. Nous avons évoqué ces merveilleux moments avec des mots choisis et délicats et nous avons promis de rester en contact mais elle avait sa vie maritale ...et moi la mienne. Cela fait 25 ans bientôt que nous ne sommes plus revus mais je ne l'oublierai jamais.

Merveilleuse histoire. Merci de nous l'avoir racontée.

Très sympa, et ça fait écho chez moi à une histoire un peu similaire qui m’est arrivée.

Sauf que pour moi, ça a commencé avec le fétichisme, mais ça a tout de suite dérapé sur de la domination. Et il n’y avait pas de sentiment amoureux entre nous.

C’était une collègue de 34 ans (j’en avais 26 à l’époque), grande, mince, très séduisante et toujours très bien habillée, avec tailleurs et, surtout, escarpins en cuir. Et parfois, à la belle saison, des chaussures plus ouvertes.

Je n’étais pas amoureux d’elle, ni elle de moi, mais nous avons tout assez rapidement “matché” amicalement. On discutait souvent aux pauses café, on déjeunait souvent ensemble etc. Et même si je n’étais pas amoureux, j’avais quand même flashé sur son look et surtout sur ses pieds (enfin, d’abord sur ses chaussures, toujours très classes et sexy, puis sur ses pieds lorsque j’ai pu les voir).

A force de parler, on a évoqué par moments des sujets plus coquins (on se parlait de nos couples respectifs, de nos envies, de nos fantasmes). Pas comme avec sa petite amie, mais on avait quand même des conversations plutôt chaudes malgré tout. Et donc, je lui ai avoué que j’aimais beaucoup les jolies chaussures et les pieds féminins (j’ai osé car elle m’avait elle-même avoué des trucs assez corsés !).

Elle a trouvé ça amusant, et du coup, quand on se voyait, elle me taquinait parfois avec ça. Elle me montrait ses chaussures en me demandant comment je les trouvais, elle me disait qu’elle avait mal aux pieds et qu’elle adorerait un massage, des trucs du genre. Plus rarement, elle se déchaussait devant moi et se caressait / massait les pieds et me jetant des regards amusés. Une fois même, elle s’est déchaussée et an mis ses pieds sur mon bureau en me demandant ce que j’en ferais si je les avait à disposition.

Attention, ce n’était pas tous les jours, mais une fois de temps en temps, pour rire.

Enfin, jusqu’au jour où… gros drame !!!

Un jour donc, en fin de journée où j’étais seul au bureau, je vois qu’elle a laissé une paire d’escarpins sous son bureau. Elle le faisait parfois, car elle venait souvent au bureau en chaussures plus décontractées (baskets par exemple) et elle se changeait au bureau. Et elle laissait donc régulièrement des chaussures à son bureau ou dans son casier.

Là, seul au bureau en train de finir un dossier, je vois ses chaussures et mon esprit s’affole. Des tas de trucs me passent par la tête, et surtout une envie folle de prendre ses escarpins pour en sentir la douce odeur. J’hésite de longues minutes, incapable de me décider, et totalement incapable de poursuivre mon travail. Puis au bout d’un moment, je décide de franchir le pas.

Je me lève, me baisse sous son bureau, et attrape un escarpin. Je le regarde de près, admiratif, puis le porte près de mon visage et de mes narines. Là, je renifle et me retrouve envahi par l’odeur délicieuse de ces merveilleux objets de désir. L’odeur du cuir, mélangée à une légère fragrance de de pieds et à une certaine moiteur, a le don d’exciter mes narines. Quel bonheur ! Quelle odeur doucereuse ! Une merveille, encore meilleur que ce que j’aurais pu espérer !!!

Je continue à sentir, tout à mon plaisir. Puis j’envisage de les emporter avec moi dans un endroit discret (bon, les toilettes quoi) et de faire mon affaire en sentant ses chaussures.

Et là, catastrophe ! Ma collègue arrive dans le bureau : elle avait oublié un truc dans son bureau et venait le chercher. Et je me retrouve face à elle, son escarpin entre les mains, sous mes narines… elle est un peu surprise, mais surtout amusée en fait ! En la voyant relativement détendue, je suis soulagé.

Et là, elle m’a dit: “alors, ça te fait plaisir ce petit cadeau que je t’ai laissé ?”. Après, elle m’a expliqué qu’elle faisait exprès de laisser ses escarpins sous son bureau en se disant que je pourrais en profiter, et qu’elle espérait me surprendre en fâcheuse posture !!! Dingue, plutôt coquine la collègue !

A partir de là, elle en a profité pour me soumettre petit à petit.

Ça a commencé avec des jeux de pieds. Ce soir où elle m’a surpris, nous sommes restés quelques instants à discuter, et elle m’a dit qu’elle pourrait laisser ses chaussures à ma disposition plus régulièrement si je me montrais très attentionné avec elle. Ce qui consistait au début à lui offrir ses cafés, porter ses affaires, aller chercher des fournitures, etc.

Puis elle m’a dit que si je voulais aller plus loin et ne pas devoir me contenter de ses chaussures, il faudrait que j’en fasse plus. Comme par exemple, lui faire un petit cadeau de temps en temps, la laisser m’humilier (quand nous étions seuls, pas devant les collègues) quand on prenait le café (les “paie sale chien”, j’ai connu aussi par exemple) ou quand on quittait le bureau (“tiens moi la porte ma pute”). Et pour me récompenser, j’obtenais le droit de masser ses pieds. Parfois au bureau, mais plus souvent en dehors.

Et récompense ultime, j’ai fini par devenir son soumis réellement. A un moment, elle s’est séparée de son conjoint, et elle me recevait donc chez elle pour me faire subir des séances de domination. Là, je devais passer des heures à m’occuper de ses pieds, sous ses ordres, et ça allait beaucoup plus loin que de simples insultes. ça lui plaisait, et à moi aussi évidemment, sinon nous ne l’aurions pas fait.

Ça a duré 2 ans en tout, et c’était réellement merveilleux. J’ai adoré être l’esclave de ses merveilleux pieds. Je prenais un plaisir fou à les caresser, les lécher. Et elle me laissait jouir sur eux pour me soulager, mais pas à chaque fois, car elle aimait aussi jouer avec ma frustration. Vraiment une expérience inoubliable !

C'est formidable cette histoire aussi.
Et peut-on savoir ce qui y a mis fin ?

Kilometre36 a écrit:C'est formidable cette histoire aussi.
Et peut-on savoir ce qui y a mis fin ?

Bonjour,
Merci pour vos commentaires. La fin de cette relation avec cette jeune femme a été liée à ce que j'appellerais une perturbation dans l'équilibre d'un système, en faisant le parallèle avec une expérience scientifique. Lorsqu'un équilibre est trouvé dans une expérience, on peut être le spectateur ébahi de la beauté de cet équilibre, bien que souvent on en est également le créateur, et espérer qu'il se maintienne alors qu'on sait justement qu'il n'est que temporaire car irrémédiablement soumis à des phénomènes extérieurs perturbants. Et bien notre équilibre a été rompu par la perte de résultats de notre service, bien que déjà pressentie par l'ensemble du personnel. Elle a senti le vent venir avant moi et a démissionné (ou été poussée vers la sortie) pour une autre boîte à salariés de même activité mais plus proche de son domicile notamment.  Après son départ nous avons tenu à nous revoir sur Paris le soir après notre journée pour essayer de revivre certains de ces moments avec succès parfois, et amertume souvent où ni les lieux ni les horaires n'offraient cette chimie. Après plusieurs rendez vous très courts le temps d'un café dans un bar, nous avions le même désir et nous promettions à mesure que l'été approchait d'essayer par tout moyen de reproduire les conditions de ma soumission et de son délicat sadisme. Nous cherchions des escaliers et le métro nous l'a permis. Il était convenu que je sois juste derrière elle, en dessous dans l'escalier pour remonter et elle avait noté sur ses mails que je l'attendrai à telle station et "tu remonteras juste derrière moi, j'aurais mis mes sandales noires que tu adores et pour mon plaisir...  j'aurai accroché les lanières de l'arrière de mes talons au dernier trou". "Je marcherai lentement afin que tes yeux impriment la couleur dorée de mes plantes nues à chacun de mes pas et arrivés à la surface, j'attendrai de toi tes plus serviles remerciements". Ce moment a été merveilleux, car arrivés en haut et après sa délicieuse montée s'étant faite au son du claquement de ses talons nus dans ses sandales volontairement lâches, elle s'est retournée vers moi avec un très beau sourire mélangé à de la connivence : J'avais les larmes aux yeux. Je l'ai remerciée non seulement de tout ce qu'elle m'avait offert pendant ces années et encore à ce moment, mais surtout simplement d'exister et d'être cette merveille. Elle m'a confiée que ses sentiments pour moi s'étaient transformés au fil du temps en cette forme de passion autour de sa personne et de ses pieds, que j'étais une homme merveilleux, qu'elle avait énormément su gagner en confiance grace à moi et également qu'un jour nous ne retrouverions, elle en était persuadée. J'ai déposé un baiser sur ses lèvres avec un très profond respect, elle m'a demandé de resserrer légèrement les lanières de ses sandales et m'a dit "il faut qu'on le dise ensemble sinon nous allons le regretter..." Elle avait les larmes aux yeux elle aussi et nous avons tous les deux dit sans nous concerter "je ne t'oublierai jamais"

Et bien. J'en suis tout ému.
C'est une formidable histoire. Une femme exceptionnelle aussi. Incroyable !
C'est vraiment râlant que vous ne puissiez vous retrouver, vous étiez faits l'un pour l'autre.
Il faut la retrouver... tôt ou tard.

Kilometre36 a écrit:Et bien. J'en suis tout ému.
C'est une formidable histoire. Une femme exceptionnelle aussi. Incroyable !
C'est vraiment râlant que vous ne puissiez vous retrouver, vous étiez faits l'un pour l'autre.
Il faut la retrouver... tôt ou tard.

Bonsoir,
Oui effectivement une femme exceptionnelle. Nous avons laissé une peu de temps après ce moment. Mon départ de l'entreprise s'est fait peu après avec son lot de difficultés liées. J'avais moi même une vie personnelle qui devenait plus complexe et un repli sur moi s'est presque automatiquement opéré. Je n'ai pu reprendre une activité que deux ans après et également après plus d'implication de ma part dans ce que peut être, j'avais négligé dans le perso. Ma reprise d'activité à la suite d'une formation me conduisant à un tout autre métier, m'a contraint à garder le cap d'une vie à laquelle je croyais encore et pour laquelle j'avais à ce moment décidé de me battre. Je l'ai fait, ça a duré un peu plus de dix ans. Je me consacrais à mes nouvelles activités avec beaucoup de déplacements, de responsabilités er je tentais de tout concilier entre pro et perso. Nous avons échangé quelques mots elle et moi par messagerie et sans révéler trop de détails, elle m'a fait comprendre avoir fait le choix de se consacrer de son côté au versant religieux de sa vie et de son couple duquel je pense, elle tentait de s'échapper lorsque nous étions collègues, et il est fort probable qu'elle voyait en moi à cette époque, une sorte de porte de sortie potentielle qui s'est malheureusement pour elle (et aussi pour moi) refermée. Pour ma part j'ai fini par craquer de cette vie, quitter mon épouse et décidé de vivre seul en ne fuyant pas pour autant mes responsabilités de père. J'ai eu besoin de plusieurs années d'introspection notamment par rapport à mes désirs et à quelle vie je souhaitais avec les femmes. J'ai tenté quelques messages auprès d'elle après un peu de repos mais ils sont restés sans réponse. Je devais continuer à tenir comme tout le monde et j'ai fait d'autres rencontres. Pour autant... Je ne l'ai jamais oubliée. Elle s'appelle Saliha.

Je suppose que ça ne compte pas si c'était avec mon ex pendant un jeu de rôle "cadre/employé" ? :')