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Un article intéressant!
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Un article intéressant!
J'ai trouvé un article intéressant sur le fétichisme du pied (plutôt axé chaussures), lisez plutôt :
"Un affolant parfum de vieille chaussure
Il y a des hommes qui "attouchent" les chaussures, les sentent, les lèchent et les caressent parce qu'elles ont tellement été portées qu'elles portent l'empreinte en creux des pieds d'un(e) bien-aimé(e). Ces chaussures sont bonnes pour la poubelle. Eux les recueillent et les gardent avec dévotion, reniflant le parfum des pieds comme une suave odeur.
«Un type qui vous suce les doigts de pied au premier rendez-vous mérite un second rendez-vous» (Jullian Barberie). Aux Etats-Unis où, sous l'influence de certains réalisateurs comme Tarentino (qui glisse dès qu'ils le peut des gros plans sur des chaussures échancrées comme des robes de cocktail), il est courant de "faire du pied" en signe d'ouverture. Certaines femmes se vernissent les ongles des orteils de la même couleur que les ongles des doigts ou prennent un malin plaisir à se déchausser en public, sans avoir honte de leur fumet. Quand on lui demande "Quel est votre genre d'homme ?", Britney Spears répond : «Un homme qui m’embrasse les pieds». L'odeur de ses pieds est, parait-il, très étrange, presqu'insoutenable, mais Britney a certainement des fans pour cette raison précise, tout comme Christina Ricci, qui dit : «Mon parfum favori, c’est l’odeur de mes pieds ! j’adore renifler mes sneakers quand je les enlève» (Enquirer Magazine).
Les amateurs de pied et de chaussure sont appelés "podophiles", ou encore "rétifistes" par allusion à l'écrivain Rétif de la Bretonne. Certains poussent la passion jusqu'à collectionner les chaussures usagées. D'autres les achètent sur des espaces de vente électronique spécialisés "used shoes", généralement tenus par des femmes (s'ils sont hétéros) qui vendent leurs vieilles paires de sandales, de mules ou d'espadrilles. On y voit les souliers en gros plan, le contrefort crasseux, la doublure maculée... Vision impudique par excellence. L’œil pénètre comme par effraction dans ce moule en creux tapissé d’empreintes suspectes. "C’est très intime l’intérieur d’une chaussure", explique Oscar, qui pendant quelques années, s'est consacré sur internet au pur plaisir de la podophilie. C’est en photographiant l’intérieur des chaussures détériorées de sa femme qu'il partage sa passion, dès 1999. Sa passion : les ballerines, les slippers, les trotteurs et tous ces chaussons en peau fine, aux semelles intérieures gris clair ou blanc cassé qui s’usent très vite, et gardent l’odeur des pieds… Dans ces images de destruction, Oscar ne voit que l'aspect positif : la puissance d'une femme qui a les pieds sur terre. Oscar n'aime que la mise à mort naturelle des chaussures : il les veut abîmées à la seule force du mollet, patinées par l'usure. C’est «la vie du pied» qui le fascine, une vie qui remue, exhale et prolifère, sans respect des carcans du poli et du propre…
Un jour, Joséphine de Beauharnais (qui posséda jusqu’à 521 paires de chaussures) se plaignit d’un trou dans une mule qu’elle n’avait portée qu’une fois. Son fournisseur lui dit : «Madame, je vois le problème. Vous l’avez mise pour marcher.» Il y a longtemps eu des chaussures si fragiles qu’elles ne duraient qu’une nuit et servaient ensuite de reliques sentimentales. Les chaussons, par exemple qui, au début du 18e siècle, donnent leur nom à une pâtisserie fourrée : de la confiture pour les podophiles. Marie-Antoinette possédait une «galerie de chaussons» (500) rangés suivant la date, la couleur et le modèle : elle ne les portait qu’une fois. Un domestique était chargé exclusivement de leur entretien. Perpétuant cette tradition du cimetière érotique des chaussures, Oscar possède des milliers de photos. Il devient fou à la seule vue de ces petits fourreaux de cuir tiède quand une femme les retire et qu’elle y laisse des traces d’orteils. «Je les expertise, dit-il. Je les renifle avec l’impression de violer une intimité et je caresse les pieds de ma femme à travers le nylon de ses bas car cette vision associée à l’odeur m’excite énormément.»
Pour les amoureux de chaussures usagées, ces jeux restent des préliminaires aux vertus quasi magiques. «Cela peut paraître sale, dit Oscar. Mais moi je n’y vois que la beauté. L’odeur des pieds est délicieuse. Certains hommes ne veulent d’ailleurs que des chaussures avec une semelle intérieure en coton, pour que l’odeur soit presque étouffante. Ils la retirent et lèchent ou sucent l’empreinte des doigts de pied.» D'autres se font des infusions avec les mi-bas et parfois même les semelles intérieures de femmes en les faisant tremper dans de l'eau mise à bouillir. De ces "jus de chaussette" qu'ils boivent ou qu'ils reniflent en flacon, ils parlent comme de divins nectars comparables à l'ambroisie. Ces fétichistes extrêmes ne constituent cependant qu'une infime minorité : dans la communauté des podophiles, la pratique la plus courante consiste seulement à caresser les chaussures qui ont pris la forme d'un pied fantôme et bien-aimé. Un peu comme ces amants qui s'échangent un T-shirt imprégné de l'odeur de l'autre, pour supporter l'attente d'une séparation...
«Le problème, c’est qu’une femme n’a que deux pieds. Et puis il faut qu’elle transpire beaucoup !», remarque Oscar. Pour user des mi-bas, vingt-quatre heures suffisent. Mais des talons aiguilles ? Certains podophiles offrent des chaussures neuves à des femmes qui sont ainsi chaussées gratuitement, en échange d'une promesse : quand tu auras bien usé cette paire, ne la jette pas. Donne-la moi, que ja la garde contre mon coeur."
Source : http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/07/un-affolant-parfum-de-vieille-chaussure.html
"Un affolant parfum de vieille chaussure
Il y a des hommes qui "attouchent" les chaussures, les sentent, les lèchent et les caressent parce qu'elles ont tellement été portées qu'elles portent l'empreinte en creux des pieds d'un(e) bien-aimé(e). Ces chaussures sont bonnes pour la poubelle. Eux les recueillent et les gardent avec dévotion, reniflant le parfum des pieds comme une suave odeur.
«Un type qui vous suce les doigts de pied au premier rendez-vous mérite un second rendez-vous» (Jullian Barberie). Aux Etats-Unis où, sous l'influence de certains réalisateurs comme Tarentino (qui glisse dès qu'ils le peut des gros plans sur des chaussures échancrées comme des robes de cocktail), il est courant de "faire du pied" en signe d'ouverture. Certaines femmes se vernissent les ongles des orteils de la même couleur que les ongles des doigts ou prennent un malin plaisir à se déchausser en public, sans avoir honte de leur fumet. Quand on lui demande "Quel est votre genre d'homme ?", Britney Spears répond : «Un homme qui m’embrasse les pieds». L'odeur de ses pieds est, parait-il, très étrange, presqu'insoutenable, mais Britney a certainement des fans pour cette raison précise, tout comme Christina Ricci, qui dit : «Mon parfum favori, c’est l’odeur de mes pieds ! j’adore renifler mes sneakers quand je les enlève» (Enquirer Magazine).
Les amateurs de pied et de chaussure sont appelés "podophiles", ou encore "rétifistes" par allusion à l'écrivain Rétif de la Bretonne. Certains poussent la passion jusqu'à collectionner les chaussures usagées. D'autres les achètent sur des espaces de vente électronique spécialisés "used shoes", généralement tenus par des femmes (s'ils sont hétéros) qui vendent leurs vieilles paires de sandales, de mules ou d'espadrilles. On y voit les souliers en gros plan, le contrefort crasseux, la doublure maculée... Vision impudique par excellence. L’œil pénètre comme par effraction dans ce moule en creux tapissé d’empreintes suspectes. "C’est très intime l’intérieur d’une chaussure", explique Oscar, qui pendant quelques années, s'est consacré sur internet au pur plaisir de la podophilie. C’est en photographiant l’intérieur des chaussures détériorées de sa femme qu'il partage sa passion, dès 1999. Sa passion : les ballerines, les slippers, les trotteurs et tous ces chaussons en peau fine, aux semelles intérieures gris clair ou blanc cassé qui s’usent très vite, et gardent l’odeur des pieds… Dans ces images de destruction, Oscar ne voit que l'aspect positif : la puissance d'une femme qui a les pieds sur terre. Oscar n'aime que la mise à mort naturelle des chaussures : il les veut abîmées à la seule force du mollet, patinées par l'usure. C’est «la vie du pied» qui le fascine, une vie qui remue, exhale et prolifère, sans respect des carcans du poli et du propre…
Un jour, Joséphine de Beauharnais (qui posséda jusqu’à 521 paires de chaussures) se plaignit d’un trou dans une mule qu’elle n’avait portée qu’une fois. Son fournisseur lui dit : «Madame, je vois le problème. Vous l’avez mise pour marcher.» Il y a longtemps eu des chaussures si fragiles qu’elles ne duraient qu’une nuit et servaient ensuite de reliques sentimentales. Les chaussons, par exemple qui, au début du 18e siècle, donnent leur nom à une pâtisserie fourrée : de la confiture pour les podophiles. Marie-Antoinette possédait une «galerie de chaussons» (500) rangés suivant la date, la couleur et le modèle : elle ne les portait qu’une fois. Un domestique était chargé exclusivement de leur entretien. Perpétuant cette tradition du cimetière érotique des chaussures, Oscar possède des milliers de photos. Il devient fou à la seule vue de ces petits fourreaux de cuir tiède quand une femme les retire et qu’elle y laisse des traces d’orteils. «Je les expertise, dit-il. Je les renifle avec l’impression de violer une intimité et je caresse les pieds de ma femme à travers le nylon de ses bas car cette vision associée à l’odeur m’excite énormément.»
Pour les amoureux de chaussures usagées, ces jeux restent des préliminaires aux vertus quasi magiques. «Cela peut paraître sale, dit Oscar. Mais moi je n’y vois que la beauté. L’odeur des pieds est délicieuse. Certains hommes ne veulent d’ailleurs que des chaussures avec une semelle intérieure en coton, pour que l’odeur soit presque étouffante. Ils la retirent et lèchent ou sucent l’empreinte des doigts de pied.» D'autres se font des infusions avec les mi-bas et parfois même les semelles intérieures de femmes en les faisant tremper dans de l'eau mise à bouillir. De ces "jus de chaussette" qu'ils boivent ou qu'ils reniflent en flacon, ils parlent comme de divins nectars comparables à l'ambroisie. Ces fétichistes extrêmes ne constituent cependant qu'une infime minorité : dans la communauté des podophiles, la pratique la plus courante consiste seulement à caresser les chaussures qui ont pris la forme d'un pied fantôme et bien-aimé. Un peu comme ces amants qui s'échangent un T-shirt imprégné de l'odeur de l'autre, pour supporter l'attente d'une séparation...
«Le problème, c’est qu’une femme n’a que deux pieds. Et puis il faut qu’elle transpire beaucoup !», remarque Oscar. Pour user des mi-bas, vingt-quatre heures suffisent. Mais des talons aiguilles ? Certains podophiles offrent des chaussures neuves à des femmes qui sont ainsi chaussées gratuitement, en échange d'une promesse : quand tu auras bien usé cette paire, ne la jette pas. Donne-la moi, que ja la garde contre mon coeur."
Source : http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/07/un-affolant-parfum-de-vieille-chaussure.html
Invité- Invité
Re: Un article intéressant!
en effet, un article tout à fait intéressant ... merci pour ce post FetishX49
Invité- Invité
Re: Un article intéressant!
Pas mal
J'avoue que, pour moi qui aime beaucoup les femmes aux jolies pieds chaussés de hauts talons sexy (mais pas non plus trop provoquant) je me reconnais à certains moment de l'article!
Quant à l'odeur des pieds de Britney...
J'avoue que, pour moi qui aime beaucoup les femmes aux jolies pieds chaussés de hauts talons sexy (mais pas non plus trop provoquant) je me reconnais à certains moment de l'article!
Quant à l'odeur des pieds de Britney...
Invité- Invité
Re: Un article intéressant!
Merci pour l'article ! Autant j'étais au courant pour Britney, mais Jillian Barberie... Ca laisse rêveur !
chris69- Fétichiste Pro
-
Messages : 136
Points : 159
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: Un article intéressant!
Merci d'avoir partagé cet article. Très instructif (et surtout, sans ironie à deux balles comme c'est souvent le cas lorsqu'il est question de fétichisme).
Invité- Invité
Re: Un article intéressant!
Article très intéressant, mais perso je ne suis pas attiré du tout par les chaussures en tant que telles, ou en tant que fourreau de pied. Ce que j'aime, ce sont les petons, même si j'adore voir de beaux pieds dans de beaux escarpins. Il ne m'est jamais arrivé de "sentir" des chaussures ou d'en avoir envie, et encore moins "d'aller plus loin" dedans.
Invité- Invité
Re: Un article intéressant!
poyop a écrit:Article très intéressant, mais perso je ne suis pas attiré du tout par les chaussures en tant que telles, ou en tant que fourreau de pied. Ce que j'aime, ce sont les petons, même si j'adore voir de beaux pieds dans de beaux escarpins. Il ne m'est jamais arrivé de "sentir" des chaussures ou d'en avoir envie, et encore moins "d'aller plus loin" dedans.
Plutôt d'accord avec toi... mais admets que la phrase «Un type qui vous suce les doigts de pied au premier rendez-vous mérite un second rendez-vous» est exceptionnelle
Invité- Invité
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